Alors c’est un peu de mon enfance que je retrouve à chaque fois que je passe au bord du grand fleuve.
Cette fois-ci, un monsieur leur donnait justement du pain.
Ils semblent le connaître et arrivent toutes ailes déployées.
J’aime beaucoup leurs bouclettes sur leur arrière-train, namoureux m’a assuré qu’ils mettaient des bigoudis chaque soir.
Voilà, y’a plus.
Je rejoins le pont pour jeter un œil à l’assemblage de François-Lucien, le ragondin, mais personne en vue.
La Loire est haute, nous sommes loin des bancs de sable qui pointeront certainement le bout de leur nez cet été.
Retour par le village.
La lumière rasante envahit les champs.
Tout s’habille de feu.
Les beaux jours poussent les habitants à nettoyer les jardins ouvriers et à faire quelques feux.
Allez, je rentre, je vais consulter le net pour cette histoire de colvert et de bigoudis parce que j’ai comme un doute :)
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6 commentaires:
Que tes photos sont belles Stéphanie!
Vendredi je garde mon BB d'amour, Eliot, et j'ai déjà programmé si le temps nous le permet une petite balade au bord de Loire. J'espère bien rencontrer les cousins de ta famille Canard. Comme tous les enfants, Eliot est fou des bêtes petites ou grosses et je me prends au jeu!
Au plaisir, et continue à photographier d'aussi belle façon la faune et la flore de par chez nous.
Un bon bol d'air, finalement, ça fait aussi du bien pour les yeux !
Tiens, tiens j'ai une amie Colvert ( madame Charlotte)à la ouache de Pohénégamouk, je vais lui parler de cette histoire de bigoudis
zut je cherche la case contact pour te parler de Charlotte mais je ne trouve pas
de bien belles photos, un très beau cadeau que tu nous fais encore!
merci
Magnifique balade oui! C'est fou, on dirait que je n'ai jamais remarqué ces bouclettes moi!
Parfois on me dit que sur le Léman; ce sont des faux colverts....
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